(texte en français ci-dessous)

Why doing second edition prints?

It now regularly happens that the edition of a print that I had made is sold out and I like it, but then the question arises of whether I do second edition or if I decide it’s over.

The other question that arises is whether it’s fair or not to make more copies than originally announced since the limited edition is getting wider and the first buyers could think they were somehow deceived.

Here are my answers:

I look at how quickly these prints have sold and if it was relatively quick (several years in any case because I have many different ones), I make more. In this, I am inspired by the example of the Norwegian painter and engraver Munch who made many engravings in successive editions to generate income because his paintings sold little. It’s true that I no longer make paintings, but I still need income!

I then number these prints as second edition prints, and they are sometimes a little different from those in the 1st edition. They therefore retain their originality and if it suits me and if you like them, it looks like we are winners together! This is my answer to my second question: they are not exactly the same and their numbering is different so there is no ethical problem.

Now if you are curious to see which ones sell more or less well, you can go to https://ldart.work/prints-gravures. The ones in second edition are marked with a 2 like the ones on display here that I just finished a few weeks ago.

And to know where I show them and discover other things I do, it’s on the home page of this site or at https://ldartwork.weebly.com.

NB: I wrote another article on the topic telling you the stories of some prints I redid.


second edition prints

Pourquoi faire des gravures en 2de édition ?

Il arrive maintenant régulièrement que l’édition d’une gravure que j’avais faite soit épuisée et cela me plait mais ensuite se pose la question de savoir si j’en fait une deuxième édition ou si je décide que c’est fini.

L’autre question qui en découle, c’est de savoir si c’est éthique de créer plus d’exemplaires que ce qui avait été annoncé au départ puisque l’édition limitée devient plus large et que les premiers acheteurs pourraient penser qu’ils ont été en quelque sorte trompés.

Voilà mes réponses:

Je regarde en combien de temps ces gravures se sont vendues et si ça a été relativement rapide (plusieurs années dans tous les cas car j’en ai beaucoup de différentes), j’en refait. En cela, je m’inspire de l’exemple du peintre et graveur norvégien Munch qui a fait beaucoup de gravures en édition successives pour avoir des revenus parce que ses toiles se vendaient peu. Il est vrai que je ne fais plus de toiles mais j’ai toujours besoin de revenus!

Je numérote ensuite ces gravures comme des deuxièmes éditions et elles sont parfois un peu différentes de celles en 1ere édition. Elles conservent donc leur originalité et si cela me convient et que cela vous plait, il semble que nous sommes gagnants ensemble! C’est ma réponse à ma deuxième question: elles ne sont pas exactement les mêmes et leur numérotation est différente donc il n’y a pas de problème éthique.

Si vous êtes curieux.ses de voir celles qui se vendent plus ou moins bien, vous pouvez aller à 200 Gravures Ensoleillées | Dominique Lecomte (ldart.work) Celles en deuxième édition sont notées 2 comme celles qui sont montrées ici et que je viens de finir il y a quelques semaines.

Et pour trouver où je les montre et découvrir ce que je fais d’autres, c’est aussi sur le site ci-dessus, page d’accueil, ou à https://ldartwork.weebly.com

NB: J’ai écrit un autre article sur le sujet vous racontant l’histoire de certaines de ces gravures que j’ai refaites.